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11 juin 2012 1 11 /06 /juin /2012 14:34

Je remercie chaleureusement les  10 000 électrices et électeurs (23.1%) qui m’ont accordé leur confiance dimanche dernier.

 

Je serai donc le candidat de la gauche unie et des républicains de progrès au second tour.

 

Jean-Pierre Cossin et Patrick Deguise, son suppléant, soutenus par le PS et les Verts ont, en effet, immédiatement appelé à se rassembler sur ma candidature au second tour et je les en remercie.

 

Ils ont obtenu 8855, soit 20,5% des suffrages, ce qui veut dire que la gauche totalise 46,5% de voix, en intégrant le score obtenu par le candidat de Lutte Ouvrière (0,9%).

 

Le candidat de l’UMP ne totalise que 28,5% (contre 44,5% en 2007). Il s’effondre donc et ne dispose d’aucune réserve de voix pour le second tour.

 

Le Front national totalise 22,2% et est donc en mesure de se maintenir au second tour.

 

La victoire, dimanche prochain, est à portée de main. Elle dépend de la mobilisation de chacun d’entre vous.

 

Le député UMP sortant est là depuis 10 ans. Notre circonscription a été délaissée et a beaucoup souffert durant les cinq années écoulées.

 

Le moment est venu de tourner cette page.

 

J’appelle toutes et tous ceux qui veulent que cela change en France et dans notre circonscription, qui souhaitent disposer d’un député actif, déterminé et disponible à se rassembler pour qu’ensemble, quel qu’ait été leur vote au 1er tour nous l’emportions dimanche prochain.

 

Les résultats du 1er tour :

 

Total gauche : 19 242 (44,5%)

Total droite : 12 332 (28,5%)

Total extrême droite : 9912 (23%)

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11 juin 2012 1 11 /06 /juin /2012 14:26

 

cossin001.jpg

 

"Nous appelons nos électeurs à reporter leurs voix sur Patrice CARVALHO"

 

Jean Pierre COSSIN

Patrick DEGUISE

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11 juin 2012 1 11 /06 /juin /2012 14:12

BL

Béatrice LEJEUNE, Secrétaire départementale du Parti socialiste

Vice-présidente du Conseil régional

 

 

YR.jpgYves ROME, Président du Conseil général de l'Oise

Sénateur

 

cgClaude GEWERC, Président du Conseil régional

 

Officielle.jpgLaurence ROSSIGNOL, sénatrice de l'Oise

 

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Joseph SANGUINETTE, Vice-président du Conseil général

 

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François FERRIEUX, Conseiller général Compiègne Sud-Ouest

 

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André VANTOMME, 1er Vice-président du Conseil général

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8 juin 2012 5 08 /06 /juin /2012 15:55

A quelques heures du 1er tour des élections législatives, que faut-il retenir des enjeux de ce scrutin ?

 

Le 6 mai dernier, les Français ont élu François Hollande à la Présidence de la République. Le rejet de Nicolas Sarkozy, les dégâts de sa politique pour les milieux populaires et les couches moyennes, son arrogance et ses comportements de « nouveau riche » n’ont pas été pour rien dans le choix des électeurs. A présent, il faut que le changement soit au rendez-vous.

 

Cela suppose évidemment une majorité à l’Assemblée nationale pour mettre en œuvre cette politique attendue. Mais nous n’avons pas besoin à cette fin, de « bénis oui-oui », le petit doigt, en permanence, sur la couture du pantalon. Il faut des députés déterminés, offensifs, conquérants, qui n’auront pas peur de proposer et de faire entendre leur voix, c’est-à-dire en fait la vôtre.

 

C’est pour cela que je suis candidat. J’entends être un député libre dans la majorité présidentielle à votre service et dans le respect strict du mandat que vous m’aurez confié. Le second enjeu concerne le Nord-compiégnois. Le député sortant UMP en est à son quatrième mandat, heureusement interrompu entre 1997 et 2002.

 

Je connais des députés UMP, qui malgré les désaccords que je peux avoir avec eux, sont attachés à leur circonscription et s’en préoccupent. Rien de tout cela avec M. Gonnot, qui n’est qu’un parlementaire rentier. Ce sont toujours les mêmes promesses durant les campagnes électorales (aujourd’hui 3000 emplois), puis il disparait, nous laissant nous débrouiller avec ce qui nous tombe sur la tête. Et les chocs auront été rudes depuis 2007.

 

Gonnot se targue d’être le défenseur de Compiègne. Ville qu’il a abandonnée pour une courte aventure à Noyon, qui a pris fin sur sa défaite aux municipales. Il n’est, en définitif, le député de personne et de nulle part. Il ne l’est au mieux que de lui-même.

 

Alors, il est temps d’en finir et d’avoir enfin un député actif à l’Assemblée et présent ici, tenant le même langage au Palais Bourbon et sur le terrain. Notre territoire a des atouts. Il faut les développer et en créer les conditions, rendre le Nord-compiégnois plus accessible et plus attractif. C’est ce que j’ai fait dans mon canton de Ribécourt, c’est que je veux faire à l’échelle de nos six cantons.

 

Dimanche prochain, ne dispersons pas nos voix, pour être sûrs de l’emporter au second tour.

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8 juin 2012 5 08 /06 /juin /2012 10:37

IMG-20120607-00447.jpg

plus de 100 personnes, salle Yves Montand à Ribécourt-Dreslincourt

 

IMG-20120607-00450.jpg

avec Jean-Guy Létoffé, Maire de Ribécourt et Thierry Frau mon suppléant

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6 juin 2012 3 06 /06 /juin /2012 18:30

La campagne du député fantôme Gonnot s’achève en apothéose. Dans l'ultime bulletin aux électeurs, le voilà qui promet : « 3000 emplois nouveaux dans les 5 ans ». Et d’énumérer 400 emplois en lieu et place de RMT à Noyon, 300 sur le site de Continental (hier même, dans la presse régionale, il était question de 400 et même de 1000), 100 ou 200 à Ressons-sur-Matz… Et comme la maison Gonnot ne recule devant rien, il s’attribue les emplois sur les zones d’activités de Longueil-Annel et Ribécourt comme s’il y était pour quelque chose.

 

Comme nous aurions aimé l’entendre quand Continental fermait après avoir trompé les salariés, quand Rigida et Jacob Delafon ont mis la clé sous la porte.

 

La soustraction des emplois ne le gêne guère. Il préfère s’exercer à l’addition d’emplois virtuels, le temps d’un scrutin pensant que les électeurs goberont ses mensonges.

 

En 2002 et en 2007, dans son journal, Gonnot promettait déjà "la bataille pour l'emploi" :

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Cette année, de nouveau, après 10 ans d'échecs, il promet "3100 emplois" :

GONNOT-EMPLOI1001.jpg

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5 juin 2012 2 05 /06 /juin /2012 17:40

Les fins de campagnes électorales sont toujours l’occasion d’opérations de dernières minutes destinées à « attraper » l’électeur.

 

La 6e circonscription avec M. Gonnot est habituée à ces manœuvres dont personne n’est dupe, tant la ficelle a souvent la grosseur du câble.

 

Ainsi à 5 jours du 1er tour nous annonce-t-on la reprise prochaine du site de Continental à Clairoix. Par qui ? Un groupe industriel parisien dont on nous tait le nom, dont nous ne savons pas s’il s’agira d’une délocalisation mais on nous annonce 400 emplois, dans un premier temps, puis mille dans un second.

 

La proximité du 1er tour de l’élection législative, qui voit le sortant UMP en difficulté nous rend naturellement perplexes devant ce soudain coup de baguette magique, qui fait sortir du chapeau un repreneur alors que l’usine a fermé depuis trois ans.

 

La méfiance est d’autant plus légitime que nous avons déjà donné. En 2009, on nous annonçait la venue d’un équipementier venu de Dubai. Un mois après, il avait disparu mais l’opération avait été montrée alors que les salariés étaient en lutte. Il fallait alors les calmer avec quelques miroirs aux alouettes.

 

En décembre 2010, on nous promettait une autre reprise pour recycler des pneus. La baudruche s’en dégonflée aussitôt.


Cette fois-ci, c’est donc l’électeur qui est visé et que l’on prend pour un gogo.

 

Ces sinistres pitreries auront du mal à faire oublier que 1200 emplois ont été perdus, que la moitié des salariés est toujours au chômage, que sur le même mode, 400 000 emplois industriels ont disparu en 5 ans en France et que la politique conduite a grandement contribué à ce désastre.

 

Alors, envoyons jouer ailleurs les prometteurs de bons jours sans lendemain et travaillons à la redynamisation économique et industrielle de notre pays.

 

C’est ce que je me suis efforcé de faire, sans tapage et avec succès, dans mon canton de Ribécourt avec la création de 3 zones d’activités. C’est ce que je veux entreprendre à l’échelle de la circonscription.

 

NB : Dans le même genre, nous avons eu droit hier à une déclaration d’Alain Gest, ex-député UMP et Président de VNF, venu à Noyon nous raconter cet immense « bobard » selon lequel Jean-Marc Ayrault, le premier Ministre, aurait décidé d’abandonner le canal Seine-nord Europe au terme d’un accord avec les verts et en échange de la réalisation d’un aéroport à Nantes, sa ville. Sans doute croit-il dans ses attributions de nous mener en bateau pour le compte de son collègue Gonnot que les électeurs pourraient bien débarquer.

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4 juin 2012 1 04 /06 /juin /2012 17:30

Madame la Ministre,

 

Le logement constitue le premier motif qui conduit mes concitoyens à pousser la porte de ma permanence d’élu.

 

Il s’agit à l’évidence d’une priorité absolue pour la nouvelle majorité.

 

- Les familles aux revenus les plus modestes sont confrontées à une véritable course d’obstacles pour obtenir un appartement. Les listes d’attente comptent des milliers de postulants dans ma circonscription.

 

- Les foyers aux revenus moyens sont exclus du logement social et soumis aux loyers exorbitants pratiqués dans le secteur privé. Dans ce dernier, un locataire sur cinq dépense plus de 40% de ses revenus pour se loger. Durant les cinq années écoulées, la situation s’est dramatiquement aggravée sous le poids de la politique conduite (sept textes de loi en sept ans).

 

- Le logement n’a pas échappé à la réduction sans discernement des dépenses publiques. Le budget a été réduit de 5% en 2011, de 2,5% en 2012 et l’objectif affiché était d’atteindre une diminution de 10% en trois ans. Pour les seules aides à la pierre, par rapport au budget de 2008, le manque à gagner cumulé s’établit à 1,126 milliard d’euros. Il a beaucoup été question de faire de tous les français des propriétaires. Le résultat est que non seulement il n’en est évidemment rien mais nous sommes en manque cruel de logements locatifs sociaux et intermédiaires.

 

- L’appauvrissement des familles, la baisse du pouvoir d’achat des salaires et des pensions ont accru le nombre des allocataires (APL et AL) quand, dans le même temps, ces mêmes allocations n’ont pas bénéficié de revalorisations. Cela a conduit à rendre de moins en moins solvables les familles les plus en difficulté.

 

- Devant le nombre croissant de demandes insatisfaites dans le secteur social, le gouvernement Fillon n’a rien trouvé de mieux que d’accroître les surloyers afin de faire partir les familles qui assuraient encore de la mixité sociale dans les quartiers. Ces dernières se retrouvent souvent démunies face à un secteur privé aux loyers élevés.

 

- Pour couronner le tout, les offices HLM se voient ponctionnés par l’Etat de 245 millions d’euros, véritable racket qui met en péril le financement du logement social.


Je tiens à saluer, Madame la Ministre, les premières mesures que vous avez annoncées :

 

- La suppression du prélèvement de 245 millions d’euros par an sur trois ans à l’encontre des organismes HLM

- Le doublement du plafond des dépôts du livret A, actuellement de 15 300 €, afin de redonner des moyens à la construction publique

- Le blocage des loyers à la relocation, qui est aujourd’hui sans limite et à la seule appréciation des propriétaires

 

Ces dispositions vont faire l’objet de décrets dans l’attente de disposer d’une majorité parlementaire nous permettant d’engager des réformes de fond.


Des mesures d’urgence s’imposent :

 

- Le blocage des loyers

- L’augmentation des aides au logement incluant les charges

- La hausse des plafonds de ressources pour l’accès au logement social

- La refonte du barème des surloyers en fixant le seuil de leur application à 200% des plafonds de ressources

 

Il s’agit, dans le même temps, d’établir un plan pluriannuel de constructions de logements. Il manque 900 000 logements en France, ce qui implique de construire 200 000 logements sociaux par an (types PLAI ET PLUS).

 

Cela nécessite :

- Renforcement de l’article 55 de la loi SRU et l’obligation faite aux communes de plus de 3500 habitants de disposer de 20% de logements sociaux

 

- Retour à la contribution de 1% des employeurs devenue 0,55% depuis plusieurs années

 

- Procédure de mobilisation des logements inoccupés avec réduction du délai de vacance de 18 à 12 mois et doublement de la taxe annuelle sur les logements vacants

 

- Prêt à taux zéro pour les bailleurs publics et leurs projets de constructions de logements sociaux dans les secteurs jugés prioritaires.

 

- De manière plus générale et au-delà de ces dispositions urgentes, une réflexion doit être engagée en vue d’une réforme profonde du calcul des loyers.

 

Je suis favorable à leur établissement à partir du revenu des familles, ce qui devrait permettre, dès lors que la mixité sociale deviendrait le critère d’établissement  des constructions de logements, de dégager des équilibres financiers pour les bailleurs et et de réorienter les aides à la personne vers l’aide à la pierre.


Je suis disponible pour conduire une telle réflexion.

 

Je vous prie de recevoir, Madame la Ministre, mes cordiales salutations.

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4 juin 2012 1 04 /06 /juin /2012 17:24

La scène était cocasse, ce samedi matin, sur le marché de Noyon.

 

Le député fantôme Gonnot était bien là, en chair et en os, et s'était transformé en fleuriste. Il distribuait, en effet, des roses aux mamans, lesquelles étaient fort surprises car, de sa part, elles connaissaient les soucis ou les chardons à l'image de toutes les mesures néfastes votées pour lui durant 5 ans à l'Assemblée nationale, mais surtout pas les roses.

 

D'après lui, les dites "roses étaient de la variété "espérance", celle que nous nourrissons, à n'en pas douter, de le voir partir, comme les noyonnais l'y ont déjà invité lors des élections municipales.

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4 juin 2012 1 04 /06 /juin /2012 17:22

Autant durant cinq ans, nous l’avons cherché partout, autant le voilà à présent sur tous les fronts… le temps d’une élection, comme d’habitude.

 

Il est, nous dit-il, très préoccupé des conditions de transports dégradées des usagers de la SNCF et veut même assigner cette dernière en justice. Les usagers concernés sont, à coup sûr, enchantés de ce ralliement tardif.

 

Mais lorsque les nouveaux horaires des lignes, notamment celle entre Saint-Quentin et Paris, se sont mis en place, le 11 décembre, le député fantôme n’était pas là. Pourtant, tout le monde était sur le quai : usagers, élus, Conseil régional en première ligne. Du député, pas trace !

 

Mais peut-être était-il un peu gêné aux entournures ? Car ces nouveaux horaires officiellement justifiés par des travaux sur le réseau s’expliquaient, en réalité, par l’ouverture à la concurrence de fret pour lequel il fallait effectivement libérer les voies. Et cette politique libérale-là, c’est le bréviaire du député UMP Gonnot, ce qui motive tous ces votes au Palais Bourbon. Il prend donc le train en marche à l’image de ces résistants de la dernière heure… pour donner le change et sauver sa peau… pardon, son siège.

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