Je viens d’adresser un courrier à monsieur Jesύs ARNALDO PÉREZ, ambassadeur de la République bolivarienne du Venezuela pour présenter mes condoléances au peuple vénézuélien :
Monsieur l’Ambassadeur,
Cher ami,
J’ai appris avec tristesse la disparition du Président Hugo Chavez. Je salue sa mémoire et exprime toute ma solidarité au peuple vénézuélien.
Il demeurera l’une des consciences de l’Amérique des peuples. Le sien l’aimait parce qu’il avait changé la vie de millions de laissés-pour-compte. Ainsi son action a-t-elle permis de faire reculer la pauvreté de moitié, d’instaurer l’éducation et la santé gratuite, de créer l’ALBA contre les accords de libre-échange, de bâtir un Venezuela souverain, indépendant et respecté.
Le rayonnement de la révolution bolivarienne dépasse les frontières du Venezuela. D’autres pays en Amérique latine s’en inspirent, apportant la démonstration que le règne de la finance et des puissants n’est pas un horizon indépassable pour les sociétés humaines.
Je vous présente mes plus sincères condoléances et suis convaincu que le peuple vénézuélien aura à cœur de poursuivre l’œuvre d’Hugo Chavez.
Avec mes cordiales salutations,
Patrice CARVALHO